Depuis quelques années, le micro entreprenariat est très promu en France. Non seulement, il offre à la personne plus de liberté, mais c’est aussi une bonne alternative pour mieux anticiper l’instabilité de l’emploi. Mais la question qui revient souvent, c’est qu’est ce qu’il faut faire pour devenir micro entrepreneur ?
Comment modéliser un concept d’entreprise ?
Avant de créer sa micro entreprise, il faut avant tout modéliser un concept d’entreprise. Pour cela, il faut donc trouver une idée qui potentiellement pourrait se vendre plus facilement. Une fois l’idée établie, il faut maintenant chercher à faire une étude de marché en fonction du secteur où l’on veut évoluer. Après avoir connu ses concurrents et le comportement en général du marché, l’étape suivante serait de définir une stratégie marketing afin de mieux vendre les produits et services qu’on propose.
Est il possible de devenir micro entrepreneur sans fond de démarrage ?
Même sans investir des milliers d’euros, on peut très bien devenir micro entrepreneur. Dans la plupart des cas, les entrepreneurs qui sont partis de zéro sont des prestataires de service, passionnés par la décoration intérieure, le commerce ou tout autre mileu. Dans ce domaine, on ne produit rien mais on se sert de ses compétences pour gagner de l’argent. Le principal fond d’investissement dans ce milieu est donc la matière grise et rien d’autre.
Les démarches à faire pour devenir micro entrepreneur
Pour devenir micro entrepreneur, il faut suivre certaines formalités. En effet, les démarches pour les personnes qui font de la profession libérale (avocat, médecin, dentiste…) sont très différents des auto-entrepreneurs classiques. Pour la profession libérale, il faut s’enregistre à L’URSSAF. Pour un auto entrepreneurs qui proposent des services ou font du petit commerce, il faut se rendre auprès de la Chambre de commerce et d’industrie ou CCI. Autre exception également pour les artisans (pâtissier, plombier, électricien…), leur enregistrement devrait se faire auprès de la Chambre des métiers et de l’artisanat ou CMA.
Concernant maintenant le choix du régime fiscal, le plus conseillé, c’est de contacter un professionnel dans le domaine de la finance et de la fiscalité car c’est un choix très stratégique pour votre future affaire.